2010 lapous

Jean Yves je te remercie pour les photos je viens de tout comprendre
au début je pensais que les nids étaient dans les box d'isolement

Lapous a écrit:

pour Pascal,
pas vieux ... sur le forum,

oui pas vieux sur le forum mais vieux dans la vie

pascal62 a écrit:

oui pas vieux sur le forum mais vieux dans la vie

que c'est à ce stade que l'on dit 1/2 de fait

tu bien

tout est en bois sur tes volières au sol c'est quoi du béton ou autre chose ??

tout bois ,
récup en presque totalité

et depuis 2 ans j'ai du béton partout au sols .
les 1° qui n'avaient pas été faites ainsi avaient été squattées par des taupes,
et j'ai eu peur des passages pour rongeurs.....

je ne regrette pas .

OK merci j' avais remarqué qu'il y avait pas mal de récup car je fais la même chose

sur tes photos de volières j'avais bien vu de la terre au sol ,
du moins en extérieur.

l'avantage du béton, surtout si surélevé par rapport au sol naturel,
est de toujours rester sec ,
et de ne pas provoquer de moisissures sur des déchets alimentaires qui pourraient tenter les oiseaux.

mais dans la foulée je suis passé à la distribution de grit,
les oiseaux ne disposant plus du sable au sol ....

oui tout à fait mes volières sont sur la terre mais seulement en extérieure mais je ne met jamais de nourriture dehors et je retourne la terre fréquemment

Pour moi l'idéal est même le SUR GRILLAGE pour le sol.

à ca genre de lecture

"les coccidies sont évacuées dans les crottes des oiseaux atteints sous forme d’oocystes qui sont de minuscules œufs. L’oocyste est très résistant, il peut rester vivant près d’un an dans le sol. "

et le même genre de phénomène pour la trichomonose. le vet m'a bien précisé qu'il fallait soigner bien sûr, mais qu'il suffisait que l'un ait fait ses fientes au sol et qu'un autre aille gratter, et la contamination est faite.

c'est un bon système, mais il faut des box pour le mettre en pratique, ou faire comme certains éleveurs de perroquets, des box suspendus.

moi j'aime bien ce qui reste un peu nature....... certes, j'ai du béton là ou je donne à manger en volière collective, mais des copeaux sous toute la partie extérieure.
c'est plus risqué, je le sais, mais j'agis en fonction aussi.

lors du vide sanitaire, je puvlérise aussi les copeaux que je retourne plusierus fois.

celle à box, ce sont des copeaux partout. je reconnais que là, c'est moins partique, car elle est aux 9/10 couverte......

jusque maintenant, je n'ai pas de taupes. elle font le tour des fondations (40 cm de profondeur pour les bordures), et du grillage au sol.

par contre les souris....... si!

Mais c'est pour cela que sur grillage les oiseaux ne sont pas en contact avec le sol.
Une pulvérisation au sol de solution de peroxyde d'hydrogène ne devrait pas faire de mal lors du nettoyage des boxs pendant le vide sanitaire.

Nathalie, pour les copeaux il faudrait les changer à l'occasion du vide sanitaire.

libellule a écrit:

lors du vide sanitaire, je puvlérise aussi les copeaux que je retourne plusierus fois. !

comment imaginer désinfecter correctement un support organique ?

Nathalie, pour les copeaux il faudrait les changer à l'occasion du vide sanitaire.

jusque maintenant, je ne l'ai pas fait..... dans les boxs, il faut que j'envisage sérieusement de le faire, car pas très pratique. il faudrait que je mette du béton. seule je n'y arriverai pas.

et je reconnais que je devrais changer,..... et que ce que je fais, c'est une emplâtre sur une jambe de bois.

je suis en train de voir avec me déchiquetuese, quand je taille les arbres, ce que je sais récupérer, et comment.

DUDULE a écrit:

Pour moi l'idéal est même le SUR GRILLAGE pour le sol.

pas facile à mettre en œuvre sur toute la surface en volières .... à moins de savoir soi même voler

ton idée de parquet sous les perchoirs est d'ailleurs judicieuse

je suis d'accord avec toi J Y pas applicable chez moi car j'accède aux abris par les volières extérieures

Dans les grandes volières, les grillages sous les perchoirs sont indispensables. Car au sol si on veut marcher il vaut alors envisager la solution caillebotis !

l'an passé javais rentré cette femelle,
pas trop sur de mon coup,
gabarit très moyen (85 gr) ,santé douteuse,( diarrhées ...)
je savais que l'éleveur connait quelques soucis de repro,
mais le dessin et la SJ m'intéressait



en fin d'hiver elle faisait 100 et à présent 112 ...



la repro a été formidable,très bonne fécondité,
19 oeufs,18 jeunes au perchoirs,( élevés par 4 couples différents),
une excellentes vitalité des jeunes (pas de mortalité)
mais
bien sur qu'il y a un mais
un phénomène étonnant: une croissance anormalement lente des jeunes,
au nid d'abord , puis après le sevrage ....

mais je constate à présent que les 1° jeunes ont bien poursuivi leur croissance,
sevrés tardivement à 80/90 ils sont à présent à 100/110.

souche lente ?
peut être dommage?
mais si j'ai gagné en "vivabilité" ce sera formidable,
réponse les années à venir.

depuis que j'élève des JJ,
avec des manipulations d'œufs sous des couples différents,
j'ai la certitude que les jeunes de tous les couples n'ont pas la même chance de survie,
que certaines origines sont bien plus rustiques que d'autres,
je n'ai rien inventé,
les agriculteurs éleveurs le savent bien.

elle est superbe

je qu'il faut avoir une sacrée patience pour l'élevage des JJ mais apparemment ça fini par payer je me prépare donc à toutes ces éventualités

pascal62 a écrit:

je qu'il faut avoir une sacrée patience pour l'élevage des JJ

elle n'est pas JJ

elle était et restera accouplée avec un mâle JJ,
mais elle s'était choisi un non SJ,
mais elle a quand même relativement bien transmis sa SJ à plusieurs mâles/JJ et femelles JJ,
donc dans 2 génération .... ça devrait le faire

Lapous a écrit:

...mais je constate à présent que les 1° jeunes ont bien poursuivi leur croissance,
sevrés tardivement à 80/90 ils sont à présent à 100/110.

souche lente ?
peut être dommage?
mais si j'ai gagné en "vivabilité" ce sera formidable,
réponse les années à venir.
...

Cette notion de souche à croissance lente (ou rapide est intéressante à prendre en compte, d'autant plus que tu parles de jeunes élevés par 4 couples différents. Ce qui exclue le paramètre parents nourriciers au profit du patrimoine génétique.

Lapous a écrit:

...depuis que j'élève des JJ,
avec des manipulations d'œufs sous des couples différents,
j'ai la certitude que les jeunes de tous les couples n'ont pas la même chance de survie,
que certaines origines sont bien plus rustiques que d'autres,
je n'ai rien inventé,
les agriculteurs éleveurs le savent bien.

Ca j'en suis persuadé depuis longtemps. Et parfois en changeant des partenaires, on a de bonnes suprises des deux côtés. La il faut envisager une incompatibilité génétique qui n'est pas forcément liée à une éventuelle consanguinité.