polyoma aviaire

Je viens de lire quelques trucs la dessus et il y a une question qui me vient en tete en ce qui concerne les eleveurs de ce forum:
-Faites vous tester regulierement vos oiseaux?

je viens de voir ce post, et j'ai trouvé ça sur le sujet

Polyoma virus aviaire

Cette maladie a été découverte au départ chez des bébés perruches ondulées. Cette maladie est parfois nommée « maladie des perruches ondulées au sevrage », mais elle ne touche pas que les perruches, elle peut également affecter les perroquets. Il y a des espèces plus à risque tels que les eclectus, les conures, les perruches à colliers et les aras. Cette maladie peut également toucher les pinsons et en particulier les pinsons australiens.

Cette maladie affecte généralement les bébés, mais peut être présentes très rarement chez les spécimens adultes. La maladie se transmet généralement des parents porteurs sains aux oisillons lors du repas par régurgitation. On suspecte aussi que l'inhalation du virus pourrait également causer la maladie.

Symptômes :

Mort subite chez les perruches ondulées de 10 à 20 jours
Mort subite des perroquets âgés entre 2 à 14 semaines
Abdomen distendu
Cloaque souillé d'urine
Problème de croissance de plumes
Déshydratation
Rougeur de la peau
Mauvais plumage ressemblant au PBFD
Anorexie
Stase du jabot
Chez les perroquets, il est rare de voir des signes cliniques. Souvent, l'oiseau est trouvé mort. S'il y a lieu les signes seront présents seulement 24 heures avant le décès.

Causes :

Voir introduction. Cette maladie est causée par un virus.

Traitement :

Aucun. Généralement les bébés atteints vont mourir. Il sera important par la suite de trouver la provenance du virus. S'il s'agit d'un élevage de perruches ondulées, il est plutôt conseillé de tuer les adultes qui pourraient être porteurs sains et de désinfecter adéquatement l'environnement avant de repartir avec une nouvelle lignée en santé.

Prévention :

Il existe un vaccin contre le Polyoma virus . Ce vaccin peut être administré à partir de 6 semaines aux bébés oiseaux. Il est considéré comme étant efficace. Tous les oiseaux plus à risques devraient systématiquement être vaccinés. Il existe également un test pour dépister la maladie. Les quarantaines ne sont pas négligeables, elles doivent être réalisés avec sérieux lors de l'achat de reproducteurs pour éviter d'introduire des porteurs sains dans l'élevage.

Je n'ai jamais attendu parler de cette infection.


J'ai trouvé ça:
http://www.aeom.ca/articles/027.asp


http://www.genimal.com/index.php?maladie=Polyomavirus&PHPSESSID=9d2875dcec8c1f18add01070c5756efe


une infection parmi tant d'autres

Elevant des ondulées, je suis actuellement confronté à ce problème.

En général, cette maladie se déclare lors de la seconde ou troisième ronde.

Avant la découverte du virus, cet affection était mise sur le compte de la fatigue des reproducteurs, d'une nourriture mal insuffisament riche, d'une quelconque hérédité.

Actuellement, sur 10 couples en reproduction, j'en ai 3 dont les jeunes ont développé la maladie et ce au premier tour.

Il y a plusieurs stades auxquels la maladie se déclare :

- Mortalité dans l'oeuf.
- Mortalité à n'importe quel stade de la croissance.
- Perte des rémiges et rectrices au moment de la sortie du nid (souvent la veille)
- Au stade adulte.

Les oisillons sortis du nid, sont incapables de voler.
Certains le resteront à jamais,
D'autres auront une repousse des plumes suivie d'une rechute et ainsi de suite.
D'autres encore auront une repousse et un cycle de mue normal.
Ils deviennent porteur sains et sont donc susceptibles de contaminer leurs congénères.
Chez l'adulte, j'ai constaté non pas la perte des rémiges et rectrice, mais des plumes de couverture sur tout le corps, suivi assez rapidement de la mort.

Le problème vient des adultes porteurs sains, qui sont indetectables. Aussi dès que cette maladie se déclare, il convient d'écarter ces sujets de la reproduction.

Starsky a écrit:

Elevant des ondulées, je suis actuellement confronté à ce problème.

En général, cette maladie se déclare lors de la seconde ou troisième ronde.

Avant la découverte du virus, cet affection était mise sur le compte de la fatigue des reproducteurs, d'une nourriture mal insuffisament riche, d'une quelconque hérédité.

Actuellement, sur 10 couples en reproduction, j'en ai 3 dont les jeunes ont développé la maladie et ce au premier tour.

Il y a plusieurs stades auxquels la maladie se déclare :

- Mortalité dans l'oeuf.
- Mortalité à n'importe quel stade de la croissance.
- Perte des rémiges et rectrices au moment de la sortie du nid (souvent la veille)
- Au stade adulte.

Les oisillons sortis du nid, sont incapables de voler.
Certains le resteront à jamais,
D'autres auront une repousse des plumes suivie d'une rechute et ainsi de suite.
D'autres encore auront une repousse et un cycle de mue normal.
Ils deviennent porteur sains et sont donc susceptibles de contaminer leurs congénères.
Chez l'adulte, j'ai constaté non pas la perte des rémiges et rectrice, mais des plumes de couverture sur tout le corps, suivi assez rapidement de la mort.

Le problème vient des adultes porteurs sains, qui sont indetectables. Aussi dès que cette maladie se déclare, il convient d'écarter ces sujets de la reproduction.

La solution d'écartement des oiseaux de repro me semblent plus correcte que de les tuer ...

Starsky a écrit:

Elevant des ondulées, je suis actuellement confronté à ce problème.

En général, cette maladie se déclare lors de la seconde ou troisième ronde.

Avant la découverte du virus, cet affection était mise sur le compte de la fatigue des reproducteurs, d'une nourriture mal insuffisament riche, d'une quelconque hérédité.

Actuellement, sur 10 couples en reproduction, j'en ai 3 dont les jeunes ont développé la maladie et ce au premier tour.

Il y a plusieurs stades auxquels la maladie se déclare :

- Mortalité dans l'oeuf.
- Mortalité à n'importe quel stade de la croissance.
- Perte des rémiges et rectrices au moment de la sortie du nid (souvent la veille)
- Au stade adulte.

Les oisillons sortis du nid, sont incapables de voler.
Certains le resteront à jamais,
D'autres auront une repousse des plumes suivie d'une rechute et ainsi de suite.
D'autres encore auront une repousse et un cycle de mue normal.
Ils deviennent porteur sains et sont donc susceptibles de contaminer leurs congénères.
Chez l'adulte, j'ai constaté non pas la perte des rémiges et rectrice, mais des plumes de couverture sur tout le corps, suivi assez rapidement de la mort.

Le problème vient des adultes porteurs sains, qui sont indetectables. Aussi dès que cette maladie se déclare, il convient d'écarter ces sujets de la reproduction.

Que sont devenus tes oiseaux infectés par cette maladies ainsi que des couples concernés?

Il me reste un jeune, dont les plumes n'ont jamais repoussé.
2 autres ont une repousse mais les rémiges sont en forme de sabre.
Les autres n'ont pas survécu.
2 autres jeunes (2ème tour) n'ont pas développé la maladie.

Je dois dans les prochains jpours faire tester un mâle collier pallidino de 4 ans, qui a perdu rémiges et rectrices cet hiver.
Mais je suis dubitatif pour son cas, peut-être le fait d'avoir perdu sa femelle l'automne dernier.